Décembre 2019, j’ai participé à une Masterclass dirigée par DIANA LUI, photographe Malaisienne. Cette aventure a démarré juste quelques mois avant le confinement mais s’est poursuivie à distance pendant toute la période Covid. Ceci a été pour moi l’occasion de développer d’autres perspectives et les interrogations nées de mes précédents travaux : l’identité, l’existence, la mémoire, l’autre…
La dimension de l’isolément inhérent au covid m’a donné un sentiment de recueillement, de renouveau, mais aussi à la fois de fragilité et de force. Ainsi j’ai pu profiter d’une sorte de nouvel univers plongé dans le silence et propice à la réflexion. J’ai découvert que ce qui était très profond en moi était ce questionnement sur la Femme, sur sa représentation, sa condition et les rôles qui lui sont assignés. C’est à travers l’histoire que j’ai cherché à comprendre, car dans un passé lointain nous avons connu un modèle de meilleure répartition des pouvoirs entre les hommes et les femmes. Les influences de mon travail se référant à l’imagerie des contes de fées, des peintres de la renaissance, du fantastique et de la magie.
Ce travail constitue le préambule du sujet plus large que je souhaite traiter. Car ce questionnement, cette obsession du rôle de la femme et de sa représentation trouvera la réponse dans la mémoire de ma vie. Je souhaite pouvoir poursuivre cette recherche, trouver le point de départ et aller au bout de cette réflexion.
La série présentée est composée de 15 images qui racontent que dans l’Égypte ancienne on trouvait des pharaonnes, des épouses royales… les femmes étudiaient, héritaient, léguaient, divorçaient.
« Dans ce lointain passé, un modèle de répartition équitable des pouvoirs entre les hommes et les femmes auraient aurait (x) précédé la culture patriarcale. Il y a 3 millénaires Isis était solaire comme les Dieux Mâles. Puis vient la fin du monde mixte et le grand récit de la supériorité virile s’installe. C’est la grande défaite historique du sexe féminin. Les femmes vont alors mener une révolution politique sociétale et métaphysique. » Extraits le mythe de la virilité Olivia Gazalé – Collection Agora. Edition Pocket
Décembre 2019, j’ai participé à une Masterclass dirigée par DIANA LUI, photographe Malaisienne. Cette aventure a démarré juste quelques mois avant le confinement mais s’est poursuivie à distance pendant toute la période Covid. Ceci a été pour moi l’occasion de développer d’autres perspectives et les interrogations nées de mes précédents travaux : l’identité, l’existence, la mémoire, l’autre…
La dimension de l’isolément inhérent au covid m’a donné un sentiment de recueillement, de renouveau, mais aussi à la fois de fragilité et de force. Ainsi j’ai pu profiter d’une sorte de nouvel univers plongé dans le silence et propice à la réflexion. J’ai découvert que ce qui était très profond en moi était ce questionnement sur la Femme, sur sa représentation, sa condition et les rôles qui lui sont assignés. C’est à travers l’histoire que j’ai cherché à comprendre, car dans un passé lointain nous avons connu un modèle de meilleure répartition des pouvoirs entre les hommes et les femmes. Les influences de mon travail se référant à l’imagerie des contes de fées, des peintres de la renaissance, du fantastique et de la magie.
Ce travail constitue le préambule du sujet plus large que je souhaite traiter. Car ce questionnement, cette obsession du rôle de la femme et de sa représentation trouvera la réponse dans la mémoire de ma vie. Je souhaite pouvoir poursuivre cette recherche, trouver le point de départ et aller au bout de cette réflexion.
La série présentée est composée de 15 images qui racontent que dans l’Égypte ancienne on trouvait des pharaonnes, des épouses royales… les femmes étudiaient, héritaient, léguaient, divorçaient.
« Dans ce lointain passé, un modèle de répartition équitable des pouvoirs entre les hommes et les femmes auraient aurait (x) précédé la culture patriarcale. Il y a 3 millénaires Isis était solaire comme les Dieux Mâles. Puis vient la fin du monde mixte et le grand récit de la supériorité virile s’installe. C’est la grande défaite historique du sexe féminin. Les femmes vont alors mener une révolution politique sociétale et métaphysique. » Extraits le mythe de la virilité Olivia Gazalé – Collection Agora. Edition Pocket